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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 12:33

Résoudre : x^2 - 5 abs (x) + 4 = 0 où abs désigne la valeur absolue.

Solution :

Premier cas : si x est positif l'équation se réduit à x^2 - 5  x + 4 = 0. C'est une équation du second degré "classique". On trouve deux solutions :   1 et 4. Les deux sont positives donc possibles.

Deuxième cas : si x est négatif, l'équation se réduit à : x^2 + 5  x + 4 = 0. C'est une équation du second degré "classique" qui a pour solutions : -1 et -4. Là encore, les deux sont admissibles.

Conclusin : S = {-4,-1, 1, 4}

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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 12:24

Bonjour à toutes et à tous;

Exercice : résoudre Abs(x+1) + Abs (x-1) = 1 (où abs désigne la valeur absolue).

Première méthode : on distingue les 3 cas possibles x inférieur à -1, x entre -1 et 1 et x supérieur à 1.

Si l'on détaille le premier cas, l'équation se réduit à : -x+1  - (x-1)= 1 d'où x=1/2 ce qui n'est pas possible car x est supposé inférieur à -1. Idem pour les deux autres cas (à détailler). Il n'y a donc pas de solution.

 

Deuxième méthode : Plus subtilement,  si x est positif x+1 est strictement supérieur à 1 donc Abs(x+1) + Abs (x-1) = 1  n'est pas possible. Même raisonnement si x est négatif cette fois x-1 est strictement inférieur à -1 donc en valeur absolue c'est strictement supérieur à 1 donc l'égalité est impossible. Bien à vous. NV

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5 juillet 2007 4 05 /07 /juillet /2007 10:28

Bonjour à tous;

En mai -  le 18 - , avec Bernard Schott,  nous rendions hommage à Louis Félix Painvin. Voici :

Quatorzième hommage (géométrique) à Louis-Félix Painvin (1826-1875), mai 2007

Aujourd’hui Louis Félix Painvin a 181 ans. Il est né le 18 mai 1826 à Melesherbes (Loiret). Il a obtenu son doctorat ès sciences en 1854. Sa thèse de mécanique était une étude sur les états vibratoires d’une couche solide, homogène et d’élasticité constante, comprise entre deux ellipsoïdes homofocaux. Sa thèse d’astronomie était une étude des différentes formes des équations différentielles dans le problème des trois corps [Painvin, 1854a]. Sa deuxième thèse lui a donné sa première publication dans le journal de Liouville dès 1854 [Painvin, 1854b]. En 1856, il est répétiteur à l’Institution Favart (note 1), à Paris.

 

Agrégé de mathématiques en 1859, il a essentiellement professé au lycée de Douai (note 2), où il a en classe de mathématiques supérieures Edouard Lucas. [Décaillot, 1999, 15]. Plus tard, en 1872, il remplace Gaston Darboux au lycée Louis Le Grand.

 

Painvin a publié une cinquantaine d’articles dont plus de la moitié aux Nouvelles Annales, dès 1852. Il a également beaucoup publié de notes (13) aux Comptes Rendus de l’Académie des Sciences de Paris. Une fois la note parue aux CRAS, il développe son exposé soit dans le Journal für die reine und angewandte Mathematik (1), soit dans les Annali (1) ou encore dans le journal de Liouville (4). Il a également publié par le biais de la Société des Sciences, de l’Agriculture et des Arts de Lille dont il était membre [Painvin, 1873]. Dès son arrivée à Paris, sous la houlette de Darboux et Houël, il assume d’importantes fonctions éditoriales au sein du tout jeune Bulletin des sciences mathématiques et astronomiques.

 

Il a également publié ses Principes de la géométrie analytique [Painvin, 1866-1869] sous la forme de deux tomes, un premier tome intitulé géométrie plane et un second intitulé géométrie de l’espace. Ces ouvrages se présentent matériellement sous une forme manuscrite. Ils ont été édités à Douai chez un éditeur plus porté vers les arts que vers les mathématiques, l’éditeur Adolphe Robaut (note 3). Aux Archives du lycée Albert Châtelet de Douai se trouve son cours de mathématiques spéciales : " Cours de géométrie analytique figures planes & surfaces ", un cours manuscrit rédigé en 1864 (note 4).

 

Bibliographie :

Anne-Marie Décaillot

1999. Édouard Lucas (1842–1891), Le parcours original d'un scientifique français dans la deuxième moitié du XIXe siècle, Université René Descartes, 1999.

 

Painvin, Louis-Félix

1854a. Thèses présentées à la Faculté des sciences de Paris pour obtenir le grade de docteur ès - sciences mathématiques, Ed. Mallet-Bachelier, 1854.

1854b. Recherche du dernier multiplicateur pour deux formes spéciales et remarquables des équations différentielles du problème des trois corps, Journal de Mathématiques Pures et Appliquées, XIX (1854), 88-111.

1866-1869. Principe de la géométrie analytique, tome 1, géométrie plane et tome 2, géométrie de l’espace, A.Robaut, Douai, 1866-1869.

1873. Etude analytique de la développable circonscrite à deux surfaces du second ordre, Société des Sciences, de l’Agriculture et des Arts de Lille, Danel, 1873.

Notes

     

  1. Cette institution a été dirigée par le libraire et maître d'instruction : Pierre-Joseph Favart. Son héritier Pierre, succombe à l'épidémie de choléra de 1832. L'institution Favart cesse d'exister en 1870. Elle était situé près de la Bastille.
  2.  

     

  3. Une note des Nouvelles Annales de 1860 (p. 407) indique à propos de Painvin " Récemment nommé ; remplaçant de M. David, nommé professeur à la Faculté de Lille ".
  4.  

     

  5. Après de courtes études, Alfred Robaut entre dans l’imprimerie fondée en 1831 par son père Félix, une imprimerie spécialisée dans la production de cartes détaillées (la plupart du temps de Douai et sa région) tirées à grande échelle. Il prend la tête de l’imprimerie en 1853, l’année même où il épouse la fille aînée du peintre Constant Dutilleux. Par l’intermédiaire de son beau-père, Robaut deviendra un admirateur de Delacroix et Corot. Robaut s’installera à Paris en 1871. Depuis les années soixante, il se spécialisera dans la reproduction en fac-similé des dessins et autographes de Delacroix. En 2005 – du 21 octobre au 30 janvier 2005-, le musée national Delacroix à Paris a organisé une exposition intitulée " Dutilleux, Robaut, Delacroix : Une affaire de famille "
  6.  

     

  7. Nous remercions infiniment Jacques-André Sirot, proviseur du lycée Albert Châtelet, d’avoir à la disposition de l’un d’entre nous, le cours de Painvin.
  8.  

 

L’HOMMAGE : Etudier la surface d’équation x2/a2 + y2/b2z2/c2 = 1 (a, b et c sont des constantes réelles positives).

 

Bernard Schott & Norbert Verdier (cet hommage est extrait d’un travail commun en cours).

 

Prochain hommage : le 16 juin, Olry Terquem aura 225 ans !

 

Pour suivre la discussion engendrée : http://les-mathematiques.u-strasbg.fr/phorum5/read.php?17,373642

le 16 juin, Olry Terquem aura 225 ans !
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2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 20:36

Bonsoir;

Ci-joint des éléments de correction pour le devoir de ce matin. Bonnes vacances. Norbert Verdier.

Question 1 (Solution)

La fonction n’est définie que si x est différent de 0. Elle est dérivable sur R*. On sait que :

(u(v(x))’= u’(v(x)) v’(x). Ainsi : (ln(x2))’ = 2x/x2 = 2/x avec x dans R*.

 

Question 2 (Solution)

Comme (sin(ax))’ = a cos(ax), il vient que F(x) = sin(3x)/3 + C. De plus F(0) = 1 = C. Donc F est définie par : F(x) = sin(3x)/3 + 1.

 

Question 3 (Solution)

1/(x(x+1)) est défini pour x différent de 0 et –1. Comme 1/(x(x+1) = 1/x – 1/(x+1). Ainsi :

F(x) = ln| x| - ln| x+1| + C

Comme : F(1) = 0, il vient que C = ln2.

Conclusion : F(x) = ln(2| x| /| x+1| ) avec x différent de 0 et de –1.

Question 4 (Solution)

La solution de l’équation différentielle est de la forme : y(x)=K exp(3x). Donc suivant le signe de K, c’est une fonction qui va de 0 à l’infini ou de 0 à " moins l’infini ". Les schémas 2 et 4 conviennent.

Question 5 (Solution)

Soit I cette intégrale. Une primitive de exp(-2x) est exp(-2x)/(-2) donc I = exp(-2)/(-2) + ½ = ½ (1-exp(-2)). Ce nombre représente l’aire délimité par l’axe des abscisses, la courbe d’équation y = exp(-2x) et les droites d’équations x=0 et x=1.

Question 6 (Solution)

Soit S = 1+2+3 + … + n et S = n + (n-1) + …. + 3+2+1. En sommant 2S = n(n+1) d’où S = (n(n+1))/2. Il faut résoudre : n(n+1) = 30 soit n2 + n –30 = 0 soit (n-5)(n+6) = 0. Donc n = 5 ou n = -6. N = -6 est impossible car n est un entier naturel donc n= 5.

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 23:04

Chaque mois sur le site de "Les mathématiques.net" je rends hommage à un mathématicien. Voici l'hommage de juin publié le 16 juin 2007.

Quinzième hommage (analytique) à Olry Terquem (1782-1862), juin 2007.

Pourquoi Terquem ? Terquem est intéressant à plus d’un titre : Olry Terquem (1782-1862) est un ancien élève de l’Ecole polytechnique (1801) ; il a été répétiteur à l’Ecole polytechnique et a enseigné les mathématiques à Mayence avant d’obtenir, pour presque un demi-siècle, le poste de bibliothécaire du Dépôt central d’artillerie à Vincennes. Erudit et polyglotte, il joue un rôle central dans la presse mathématique de la première moitié du XIX ème siècle en participant notamment activement au Journal de Liouville puis en co-fondant avec Gérono les Nouvelles Annales de Mathématiques, en 1842, un journal décédé en 1927, il y a 80 ans. Au delà des mathématiques, Terquem a milité par d’autres écrits pour une refonte du judaïsme [Landau, 2001]. Par son érudition, il a été un passeur de sciences entre l’Allemagne et la France, en lisant et en traduisant inlassablement des textes de Berlin.

 

L’HOMMAGE : " Conditions pour que l’équation x4 + p x = q ait trois racines égales. " (Extrait de l’examen de 1842 du concours d’entrée à l’Ecole polytechnique, Nouvelles Annales de Mathématiques, 1 (1842), 350. A vos plumes.

 

Bibliographie :

Landau Philippe-Efraïm (1) , Olry Terquem (1782-1862) : régénérer les Juifs et réformer le judaïsme (Olry Terquem (1782-1862) : regenerating Jews and reforming judaism), Revue des études juives (Rev. étud. juives), 2001, vol. 160, no1-2, 169-187.

 

Chasles, Michel, Rapport sur les travaux mathématiques de M.O.Terquem , Annales de Mathématiques, 2e série, t.II, Juin 1863, 241-251.

" Conditions pour que l’équation + = ait trois racines égales. " (Extrait de l’examen de 1842 du concours d’entrée à l’Ecole polytechnique, , (1842), 350. A vos plumes.

 

Prouhet, Eugène

1862. " Notice sur la vie et les travaux d’Olry Terquem ", Bulletin de Bibliographie, d’Histoire et de Biographie Mathématique, t.VIII, Novembre 1862, 81-90.

 

Prochain hommage : Le 22 juillet Gabriel Lamé aura 212 ans.

Le 22 juillet Gabriel Lamé aura 212 ans.

 

Bien à vous. Norbert.

 Pour suivre la discussion engendrée par cet hommage : Cf

http://les-mathematiques.u-strasbg.fr/phorum5/read.php?17,379190

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7 juin 2007 4 07 /06 /juin /2007 18:14

Bonjour à tous;

 

Vient de paraître un article co-écrit avec Konstantinos Chaztis (Ecole nationale des ponts et chaussées, Paris) , Philippe Etchecopar (CEGEP de Rimouski, Quebec) et Pascal Thériault-Lauzier (Etudiant à l'Université McGill, Montréal) : Gaspard-Gustave Coriolis (1792-1843) : un homme, une oeuvre, une force et des effets, Quadrature, n°64, Avril-Juin 2007, 7-14.

Voici le chapeau : "Gaspard-Gustave Coriolis (1792-1843) est connu pour le nom qu'il a laissé à une force. Cet article commence par un descriptif de la vie, de l'époque et de l'oeuvre de ce polytechnicien méconnu. Ensuite, on décrit et on analyse, sans, puis avec les mathématiques, "la force de Coriolis". Des applications plus ou moins sérieuses achèvent le texte.

Dans un encadré, est indiqué le contexte pédagogique de cet article : un projet science unissant des étudiants de l'IUT de Cachan et du CEGEP de Rimouski.

 

Bien à vous. NV

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7 juin 2007 4 07 /06 /juin /2007 18:14

Bonjour à tous;

 

Vient de paraître un article co-écrit avec Konstantinos Chaztis (Ecole nationale des ponts et chaussées, Paris) , Philippe Etchecopar (CEGEP de Rimouski, Quebec) et Pascal Thériault-Lauzier (Etudiant à l'Université McGill, Montréal) : Gaspard-Gustave Coriolis (1792-1843) : un homme, une oeuvre, une force et des effets, Quadrature, n°64, Avril-Juin 2007, 7-14.

Voici le chapeau : "Gaspard-Gustave Coriolis (1792-1843) est connu pour le nom qu'il a laissé à une force. Cet article commence par un descriptif de la vie, de l'époque et de l'oeuvre de ce polytechnicien méconnu. Ensuite, on décrit et on analyse, sans, puis avec les mathématiques, "la force de Coriolis". Des applications plus ou moins sérieuses achèvent le texte.

Dans un encadré, est indiqué le contexte pédagogique de cet article : un projet science unissant des étudiants de l'IUT de Cachan et du CEGEP de Rimouski.

 

Bien à vous. NV

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29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 23:25

Bonjour à tous;

 

L’exposé de Marseille a consisté à décrire le projets sciences à l’IUT de Cachan et à évoquer les retombées pour les étudiants. Une dernière remarque consistait à lancer un pont entre Cachan et Marseille par le biais d'une étude biographie que et scientifique autour de l'Abbé Aoust - le plilier de la faculté des sciences de Marseille au XIX ème.  Bien à vous. NV

 

Annexe 1 : Le descriptif du projet en 2006-2007

 

Projet sciences

2006

----------

Semestre 4 : Norbert Verdier

Les étudiants se groupent par binômes. Dans leur emploi du temps (créneau " sciences ") deux heures hebdomadaires sont dégagées pour qu´ils puissent travailler en commun. La première séance (distribution des sujets) se fait en présence d´un enseignant. Les travaux sont à remettre le vendredi de l’avant-dernière semaine avant la fin des cours. Chaque sujet consiste à rédiger un article de vulgarisation scientifique (avec certaines contraintes). Pour avoir une idée de travaux antérieurs, on pourra consulter la sitographie ci-dessous. Elle concerne des travaux d'étudiants de Cachan en collaboration avec des étudiants québécois (dirigés par Philippe Etchecopar).

Sitographie :

® http://www.csteq.com/pages_htm/experiences/experience_complete.jsp?projet=22

 

® http://fourier.f2g.net

 

Cette année, plusieurs types de travaux sont proposés. Tous ont la même mouture. Ecrire un article de vulgarisation (du style article d’une revue comme Sciences et Vie ou Sciences et Avenir) sous forme d'un article obéissant aux contraintes suivantes : Le corps de l'article ne dépassera pas les 6 000 caractères (espaces compris). L’article ne doit pas dépasser 2 pages (corps du texte et illustrations comprises).

I Une biographie scientifique autour d’une des personnalités suivantes :

     

  • André Marie Ampère (1775-1836)
  •  

     

  • Joseph Fourier (1772-1830)
  •  

     

  • Gustav Kirchhof (1824-1887)
  •  

     

  • Pierre Simon Laplace (1749-1827)
  •  

     

  • Georg Ohm (1789-1854)
  •  

     

  • Denis Poisson (1781-1840)
  •  

     

  • Autre.
  •  

II Une synthèse autour d’un concept scientifique :

     

  • Le zéro
  •  

     

  • Le vide
  •  

® Bibliographie : Le Noxaïc, A., Les métamorphoses du vide. Paris : Belin, Pour la science, 2004.

Bibliographie :Le Noxaïc, A., . Paris : Belin, Pour la science, 2004.

     

  • L'infini
  •  

    ® Bibliographie : N.Verdier, L'infini en mathématiques, Ed. Flammarion, 1997. [Disponible à la bibliothèque]

III Un article autour de l’électronique

Il s’agit d’écrire un article de vulgarisation (du style article d’une revue comme Sciences et Vie ou Sciences et Avenir). Chaque article devra suivre les contraintes suivantes : Le corps de l'article ne dépassera pas les 6 000 caractères (espaces compris). L’article ne doit pas dépasser 2 pages (corps du texte et illustrations comprises). On peut évidemment adjoindre des images, des schémas, des photos, etc.

Thèmes proposés :

     

  • Les applications de l’électronique
  •  

     

  • L’électronique de demain (entretien avec un chercheur en électronique ou visite d’un laboratoire d’électronique, etc).
  •  

     

  • L’électronique est-elle une science ou une technique ?
  •  

     

  • Une histoire de l’électronique de sa création à aujourd’hui.
  •  

     

  • Autre
  •  

IV Autre :

Toute proposition calquée sur les représentations matérielles précédentes et ayant pour objet un sujet scientifique pourra être éventuellement validée sur demande.

 

Vos travaux devront être remis dans mon casier au plus tard l’avant-dernier vendredi de S4 avant la fin des cours. (sauf dérogation autorisée). 

 

Chaque binôme me remettra :

 

     

  • l’article proprement dit.
  •  

     

  • un descriptif de l’organisation choisie par le binôme, expliquant comment les étudiants s’y sont pris pour cerner le sujet. On pourra par exemple expliciter par quelques mots clés le déroulement de l’opération semaine par semaine.
  •  

 

Annexe 2 : quelques retombées effectives

Sites Web

 

Biographie de Gauss :

http://www.csteq.com/pages_htm/experiences/experience_complete.jsp?projet=22

Biographie de Fourier :

http://fourier.f2g.net

Etude des fractales :

http://www.csteq.com/pages_htm/projets_jeunes/projet.jsp?projet=15

Etude du chaos :

http://www.sciencepourtous.qc.ca/dossier/Chaos_intro.html)

Articles de vulgarisation :

 

Quadrature, n°64, Avril-Juin 2007, Gaspard-Gustave Coriolis (1792-1843) : un homme, une œuvre, une force et des effets, 7-14.

, n°64, Avril-Juin 2007, , 7-14.

 

Entretien avec un étudiant de Cachan qui poursuit ses études à l’Université de Rimouski :

 

Cf. ce blog, rubrique " Feuille de Cachan ", sous-rubrique : Neuvième feuille ...

http://norbert.verdier.over-blog.com/article-5817216.html

 

 

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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 15:14

Bonjour à tous;

La seizième feuille de Cachan. Avril 2007, le temps d'une visite à Versailles. La prochaine feuille est pour septembre. Bien à vous. NV

Seizième feuille de Cachan.

" Maths spé ATS à Versailles " 

     

  • Avril 2007 –

     

Avril 2007. Versailles, son château, sa classe de " maths spé ATS ". Rencontre. ce mois-ci avec Christel Izac, professeur au lycée Jules Ferry à Versailles

 

Qu’est-ce qu’une math spé ATS  ?

C’est une classe préparatoire aux concours d’entrée en écoles d’ingénieurs (CPGE) pour des étudiants ayant un DUT ou un BTS. Elle s’effectue en un an.

Quelles sont les conditions d’enseignement ?

Les étudiants sont 30 par classe pour les cours, et 15 en travaux dirigés ou en travaux pratiques.

Les matières enseignées sont : Mathématiques (6h cours, 3h TD) , Sciences Physiques (5h cours, 2h TD, 2h TP), Sciences de l’ingénieur( 2h cours, 2h TD, 3h TP) , Français (1h cours, 2h TD), Langues (1h cours,2h TD)

Afin de s’entraîner pour les oraux des concours, les étudiants ont des interrogations orales dans chaque matière.

 

Quelles sont les possibilités de poursuite d’études après une math spé ATS ?

Il est possible d’intégrer plus de 150 écoles.

Voir une liste non exhaustive d’écoles sur le site ATS de Versailles (adresse donnée en fin d’article)

Ce qui peut être intéressant, c’est qu’en passant par l’ATS, un étudiant peut changer de spécialité, ou intégrer une école généraliste.

 

Est-ce que cette formation portée (exclusivement ?) sur la théorie ne pose pas de gros problèmes à ses destinataires qui sont des étudiants issus de filières techniques ?

Cette filière a été créé pour ce type d’étudiants et s’adapte à leur cursus.

Les notions de base sont reprises en début d’année dans toutes les matières.

S’il est vrai que l’objectif est de renforcer la culture scientifique des étudiants de façon à leur permettre de suivre une formation d’ingénieurs, il n’est pas question d’oublier leur vécu technologique.

Cette formation n’est pas exclusivement portée sur la théorie, et en Sciences de l’Ingénieur, par exemple, les TP sont là pour que les étudiants puissent appliquer leurs connaissances sur des systèmes industriels concrets.

Si l’étudiant est prêt à travailler et à suivre les conseils des enseignants, il a toutes les chances de réussir.

 

Pouvez-vous nous présentez le parcours type d’un étudiant issu d’une telle filière ?

Après l’obtention de son DUT ou de son BTS, et son année passée en ATS, l’étudiant intègre une école d’ingénieur où il poursuit sa scolarité avec les étudiants issus des autres classes préparatoire avec la même réussite.

Que se passe-t-il pour un étudiant qui ne réussit pas le concours BTS/DUT/ATS ?

Très rares sont les étudiants qui n’intègrent pas une école d’ingénieurs en fin d’ATS.

Le taux de réussite est de 100% depuis plusieurs années à Versailles.

Et l’ambiance ?

L’ambiance est très conviviale.

Les étudiants ont généralement plus de 20 ans et ont une maturité telle, que s’installe très vite au sein de la promotion une dynamique de travail collectif saine.

Il n’y a pas vraiment de concurrence entre les étudiants d’une même promotion puisque tous ne veulent pas intégrer les mêmes écoles.

En effet, un DUT Génie Civil, un BTS Productique et un DUT GEEI ne vont pas concourir sur les mêmes listes.

Comment s’inscrire ?

Il faut demander un dossier d’inscription au lycée (01 39 20 11 60).

Il sera envoyé au domicile. Il faudra le faire remplir par les enseignants de l’IUT et le renvoyer avant le 1er juin.

Sitographie

http://www.lyc-ferry.ac-versailles.fr/pages/indexpag.html (site du lycée Jules Ferry)

(site du lycée Jules Ferry)

http://cpge.ats.versailles.free.fr/index.htm (site de l’ATS de Versailles)

(site de l’ATS de Versailles)

La Feuille de Cachan prend ses vacances et son envol. Prochaine feuille en septembre 2007, la dix-septième, la première de la troisième année.

prend ses vacances et son envol. Prochaine feuille en septembre 2007, la dix-septième, la première de la troisième année.

Ours

Responsables de la publication : Georges Michaïlesco & Gilles Raynaud

Rédacteur & " Intervieweur ": Norbert Verdier (norbert.verdier@u-psud.fr)

" Interviewée " : Christel Izac (christel.izac@wanadoo.fr)

Comité de rédaction : Sally Gérome, Pascale Vareille, Norbert Verdier.

Imprimée à Le Kremlin Bicêtre, le 30 avril 2007.

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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 15:11

Bonjour à tous;

Mars 2007. Le temps des bilans. Qu'est-devenue la promotion précédente ? Bien à vous. NV

Quinzième feuille de Cachan

Bilan de la promotion 2006

     

  • Mars 2007 -
  •  

Mars 2007. Que sont devenus les étudiants diplômés en juillet et septembre 2006 ? Inventorier les différents parcours consiste assez largement à dresser une sorte d’ " inventaire à la Prévert " tant les parcours sont variés à l’issue d’un DUT Geii. NV

 

" Une triperie
deux pierres trois fleurs un oiseau
vingt-deux fossoyeurs un amour
le raton laveur
une madame untel
un citron un pain
un grand rayon de soleil
une lame de fond
un pantalon
une porte avec son paillasson
un Monsieur décoré de la légion d'honneur
le raton laveur […] "

Jacques Prévert, Paroles, 1949.

 

" Ingénieurs " (désigne l'ensemble des étudiants inscrits dans des écoles d'ingénieurs publiques, privées, classiques ou par alternance (reconnues par la Commission des Titres ou alternance).

33

" Etudiant " (désigne ici l'ensemble des étudiants inscrits à l'Université dans des formations non professionnelles (en France ou à l'étranger)).

23

" Technicien spécialisé " (désigne l'ensemble des étudiants inscrits dans des licences professionnelles).

16

" Technicien " (désigne l'ensemble des étudiants qui sont sur le marché de l'emploi (sous contrat CDI, CDD, ou intérimaire).

5

" Divers " (désigne l'ensemble des étudiants ayant opté pour des reprises d’études à Bac + 2 (spé ATS, L2 en universités, etc), ayant pris une année sabbatique, ayant intégré des formations d’ingénieurs non reconnus par la Commission des Titres ou n’ayant pas répondu) .

 

22

Diplômés Geii 1 (Cachan) en 2006.

99

 

Méthodologie de l'enquête

L’analyse porte sur les titulaires du DUT lors de la session 2006. Un questionnaire a été envoyé aux étudiants au cours du troisième trimestre 2005. Une relance a été faite au premier trimestre 2006 suivie d’un appel téléphonique, par Christiane Colonna, au domicile des parents des (trop nombreux) étudiants n'ayant pas donné signe de vie. Danièle Lopes a effectué le même travail pour la promotion par apprentissage.  A l’issue de cette double enquête, nous sommes en mesure de présenter un bilan quasi-exhaustif portant sur 99 diplômés : 88 issus du cycle initial et 11 du cycle par apprentissage.

 

Un bilan

Répartition par catégories de la promotion 2005

Catégorie

Effectif du cycle initial

Effectif de la promotion apprentie

Effectif total de Geii1

Ecole d’Ingénieurs

30

3

33

Universités

10

0

10

A l’étranger

11

2

13

Licence Pro

14

2

16

Marché de l’emploi

3

2

5

Divers

20

0

20

Total

88

11

99

 

Catégorie des ingénieurs

Dans ce décompte, on ne comptabilise pas les écoles privées non reconnues par la Commission des Titres. (aucun nom ne sera donné ici).

- 17 étudiants sont inscrits dans des filières classiques, dans les écoles suivantes : ENIB, ENSAM, ENSEA, ENSIEEHT, ENSERB, ENSSAT, IFIPS Orsay, INSA Rennes, UTC, SUPELEC, etc.

- 9 sont inscrits dans des écoles privées : ECE, EFREI, ESIEE Paris, ISEP, etc.

- 7 sont dans des écoles par alternance : CEFIPA, IFIPS Cachan, IFITEP, Ingé 2000, etc.

 

Pour résumer, un tiers de la promotion de Geii 1 poursuit ses études dans des filières d’ingénieurs toutes filières confondues (hors écoles non reconnues par la Commission des Titres). Ce taux (cachanais) est supérieur –semble-t-il – aux statistiques nationales.

 

Lors de l’enquête " Insertion des titulaires du DUT -années 2001 à 2003 " exposée par Joëlle Maillefert lors du Conseil de l’IUT le jeudi 23 novembre 2006, montre que 28 mois après l’obtention du DUT, environ la moitié des étudiants est inscrite dans des écoles d’ingénieurs.

 

Erratum : Dans la quatorzième feuille de Cachan (Février 2007), il faut remplacer la phrase " Jadis, on nous réclamait à corps et à cris des éléments de probabilités et statistiques " par " Jadis, on nous réclamait " à corps et à cris " des éléments de probabilités et statistiques ". Il manquait des guillemets à l’expression " à corps et à

cris " qui n’est évidemment pas correcte.

 

 

Ours

Responsables de la publication : Georges Michaïlesco & Gilles Raynaud

Rédacteur & " Intervieweur ": Norbert Verdier (norbert.verdier@iut-cachan.u-psud.fr)

Comité de rédaction : Sally Gérome, Pascale Vareille, Norbert Verdier.

 

 

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